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« (…) Nous commençons ce pèlerinage ‘tous terrains’ par … La Procession !Temple Edfou mains

En deux temps, trois mouvements, ou plutôt : en seulement deux pages, trois paragraphes, nous voici noblement informés des étapes essentielles du développement bancaire, en lien avec l’avènement du nouveau libéralisme. Vous n’êtes pas ‘spécialiste’ en économie… qu’importe, ou plutôt : tant mieux ! Car, par ce court chapitre de neuf pages, les notions phares de cet essai vous sont proposées dans une langue riche (et aussi agréable à ‘écouter’ qu’à lire), dans un langage structuré où les termes utilisés ont tous leur pertinence et la puissance de leur contenu sémantique (et de leurs interactions mutuelles). » JPA (lire la critique)

 

Main invisible Journal Pour« (…) Un ouvrage concentré de savoirs, de recherches, d’études, de réflexions, qui prouvent un travail important et fouillé, lucide, idéaliste, mais réaliste. Il est agrémenté non seulement de nombreux graphiques clairs et intéressants, mais aussi de citations d’auteurs, de toutes périodes, politiques, philosophiques. Une bibliographie, aussi diverse que conséquente, témoigne d’une culture large et incontestable de l’auteur. Initiés, engagés, indignés, hésitants, tous y trouveront leur compte pour se «booster», s’affranchir et s’engager. À lire absolument. » Pour Presse (lire la critique)

 

Temple Edfou mains

« (…) « La main invisible » est donc un bon ouvrage de vulgarisation économique qui permet aux non-initiés decomprendre la complexitéet l’historicité des phénomènes socio-économiques détaillés dans la presse et dans des livres plus spécialisés.

Un bel outil de décryptage et de réflexion pour les citoyens qui s’impliquent dans des alternatives et des mobilisations. »

Entre les lignes (lire la critique)

« Une vision originale des processus informationnels dans l’entreprise. Avec cet ouvrage au titre évocateur, Alain Tihon nous livre un contenu riche, argumenté, fourmillant d’exemples concrets sur les processus informationnels dans l’entreprise, et qui devrait bénéficier aux professionnels de l’information. » Jean-Philippe Accart (lire la critique)